First day in Rouen...
Photo souvenir d'une journée d'été pour se réchauffer le coeur !
Edit du soir : L'émotion surement.. j'ai posté sur la vieille Fée des Brumes, ce matin ! La suite ICI !!!
Photo souvenir d'une journée d'été pour se réchauffer le coeur !
Edit du soir : L'émotion surement.. j'ai posté sur la vieille Fée des Brumes, ce matin ! La suite ICI !!!
Et oui, nouvelle année et changement d'habitudes... Et bye-bye CB qui m'agace un peu depuis l'intrusion du bandeau de pub entre le premier et le deuxième post !
Avec l'aide précieuse d'un de mes filleuls, j'ai repéré, différencié et vaincu les termes barbares comme nom de domaine, espace de stockage, plateforme... bravé les heures d'importations et je m'installe tranquillement chez moi... ICI ! Z'avez vu en haut ? feedesbrumes.com !
Il y a encore quelques petits imports à réaliser comme terminer la liste de liens, c'est un tantinet fastidieux, ou essayer de trouver une possibilité d'ajouter de petits albums photos (euh... mon filleul trop fort en bidouillages... tu look ???)...
Et comme me l'a un jour dessiné Frank MARGERIN...
Fée des Brumes, je resterai !!!
Retrouver la plage qu'on aime bien et la mer aujourd'hui plate comme un lac...
Délacer ses C*nverse,
Tremper quelques orteils et se jeter à l'eau,
Puis trainer un peu, en maillot parce qu'il fait beau, et photographier les galets, les vaguelettes, le bois flotté et la montagne...
Voilà une tradition qui se met en place, qui cette année est un des premiers bonheurs de l'année !
Suivre le tout d'un déjeuner en terrasse,
en ayant pris soin d'y convier la Mère Richard,
Et s'amuser des jeux d'ombre sur le mur...
2012 s'annonce fort bien !
A vous toutes et tous je souhaite une belle, douce, joyeuse, authentique année 2012, toute agrémentée d'une insolente santé. Et que vos pas vous guident vers la lumière et les couleurs du bonheur...
Douce, envoutante, grave, chaude, ronde, fifties, à donner le frisson dès qu'elle s'élève à capella...
Un moment de pur bonheur dans l'univers de la famille Moriarty que l'on attend toujours avec impatience et qui à nouveau ne déçoit nullement...
Une setlist illustrée par Zim et par laquelle Arthur nous invite à les retrouver à Québec dans un standing theater cer je trouve toujours dommage d'être assis lors d'un concert...
Un passage à Paris et une grande envie d'essayer cette adresse testée par notre Banc Moussu national...
On choisit ses bocaux parmi les entrées, plats ou desserts, ou on opte pour le menu du jour à 15 €,
on nous réchauffe ce qui doit l'être en nous donnant un amusant boitier rond qui devient tout rouge multi clignotant lorsque c'est prêt. Entre temps, on s'est cherché une place, pas facile à trouver il est 13 heures, et on s'installe sur la banquette en se glissant entre deux tables (on est alors contente de rentrer dans un jean taille 28 !) pour commencer ce repas,
saveurs marocaines de Vincent Ferniot (et tiens, le voilà justement qui rentre dans le restaurant), puis douceur de Noël préparée par Christophe Michalak... Et qui s'installe face à notre proche voisin ? Vincent Ferniot qui lui accorde une interview. Car notre voisin vient de Lausanne et prépare un guide du bio en France. Je sais, ça ne se fait pas d'écouter aux portes, mais je n'ai pû qu'entendre leur conversation si proche...
Et savoir ainsi que Vincent Ferniot et son frère Simon, les concepteurs du lieu qu'ils appellent fast-food, sont des fous de cuisine. Que c'est Simon, bien plus attentif sportif (euh... ça se voit un peu. Les mêmes yeux mais les silhouettes genre Laurel et Hardy) qui tenait à allier alimentation et santé, donc bio. Que Vincent, grâce à ses 25 années de chroniques culinaires, avait eu la chance d'avoir dès le début la confiance de chefs étoilés.
Que les plats sont réchauffés à la vapeur ou à la chaleur tournante. Que tout est bio. Que d'autres Boco vont voir le jour...
Bref, on se régale. Et la cerise sur le bocal, c'est le sourire de Vincent Ferniot, lorsqu'on lui dit être ravie d'avoir si bien déjeuné ici. Il ne manque pas alors de nous inviter à rejoindre sa page FB !
BOCO, 3 rue Danielle Casanova, Paris 1er
Voilà, c'est fait ! Joyeux Noël gourmand à vous aussi Messieurs !!!
Le samedi sous les platanes... Digoin !
L'ennui me dit la vendeuse, il y a neuf sous-tasses pour six tasses... (Super, me dis-je alors, je vais avoir des sous-tasses pour les trois tasses chinées ICI !)... Mais je laisse poindre ma déception...
Le dimanche dans les rues du village... Digoin...
Ce n'est pas le prix marqué... Pas 50 centimes ? Non, 20 ! Encore mieux, c'est un peu folie (j'hésitais, ce ne sont vraiment pas mes couleurs Digoin) mais je vous la prends !
Digoin, donc, et barbotine !
Que voulez-vous, j'ai parfois du mal à résister...