Deuxième soirée des Déferlantes
Petit retour en arrière # 5 ...
Me voilà de retour le soir même !
Alors qu'ANAÏS est en pleine séances d'autographes (et voilà un gros bec pour FdB !),
HONG KONG DONK se produit sur la scène, dos aux pins et à la mer au loin ... J'ai pas bien écouté, mais j'ai remarqué le look et la choré du plus bel effet ...
C'est au tour d'une ANAÏS pêchue, bien dans ses baskets, son TShirt bleu Superbitch (c'est pas moi qui le dit !) et son mini short d'arriver sur scène. Drôle, dans ses textes comme dans ses échanges avec le public, elle nous fait rire et sourire ... Tiens, un rapide tribute to Mickaël, plutôt fachée contre Christina ... elle le semble beaucoup moins contre le guitariste aux longs cheveux qui a l'air de particulièrement bien s'entendre avec elle et qui vient subrepticement l'embrasser alors qu'elle a les deux mains qui s'activent sur sa guitare et qu'elle ne peut se débattre ...
C'est Miss Météores, autrement dit Olivia RUIZ, qui monte sur scène. La belle, à la tenue de scène espagnolisante (MANOUSH, d'après mes sources), venue en voisine, est ravie de chanter devant les catalans (elle nous le dit et le redit). Et lorsque son ami CALI lui fait le plaisir de venir pour un duo, les festivaliers sont enchantés de même ! Sa voix particulière (celle d'Olivia) en laisse certains de marbre, mais son univers poétique séduit la plupart.
Ensuite, je me retrouve dans un univers que je connais peu ... THE DO ... J'ai admiré la structure et le design de la batterie (qui s'est d'ailleurs cassée la figure en cours de spectacle !) . Spécial et vraiment particulier en ayant beaucoup de qualités musicales, ça ne plait pas à tous, mais je reste debout devant la scène et je remarque le spectateur qui lui aussi a été au concert U2 à Barcelone ...
car arrivent ensuite ... (et là quelques purs fans de The DO étant partis, je suis encore plus près) ...
... les SIMPLE MINDS. Dès leur nouvel album présenté ... Back direct to the eighty's ... Y'a pas à dire, la pop anglaise, ça tient drôlement bien la route. J'ai adoré le flegme du guitariste macheur de chewing-gum et son look très daté. Le sourire de Jim KERR fait plaisir à voir et lorsqu'il accueille CALI, c'est un Bruno CALICIURI impressionné qui entame un magnifique duo sur Mandela Day.
Waouhhhhh !!!!